mardi 3 février 2015

Littérature de milieux humides (suite)

Je me suis souvenue d'un autre roman lu il y a longtemps. Sans doute le plus fameux roman du Québec se déroulant dans un milieu humide, en l'occurrence la plaine d'inondation du St-Laurent au Chenal du Moine (Sorel):



"Dans les commencements, ça demandait pas rien que le courage d'un homme, mais celui d'une bonne femme ben vaillante avec, pour résister dans le pays: la rivière qui montait, tous les printemps, et qui lichait la maison à chaque coup d'eau, quand elle la neyait pas. Tout était toujours à recommencer."
Le Survenant, Germaine Guèvremont (1945) 

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